Avant de frapper la mort
est tapie dans les avirons.
Avant de frapper la mort
est tapie dans les avirons.
hier mon plaisir diffère
d’un souvenir errant
et la grandeur du ciel reste toujours
la même par les tresses indolentes de mes rêves
le bras de ma mémoire au coude de ma nuit.
De la mort il y a toujours qui en tire
avantage et pour d’autres ce n’est
que malheur.
Il est bon de mourir entouré
de sa famille.
Je sais que la soif diffère
de l’humidité de la forêt
le sable du désert dans mes yeux
court ma douleur et la peine dans mes jambes
à côté d’une source errante.
La mort du sultan
laisse un siège vide.
La mort du lion n’arrête pas
la vie de la savane.
pour quelle raison la nuit
me voile l’horizon
une étoile au loin m’appelle
le désire de mon voyage
dans l’ombre de ma mémoire.
La couleuvre pays souvent
le prix de sa cousine la vipère.
Les l’opères sont douce au toucher
mais portent la mort dans leurs
crocs.