il est mort l’espoir le jour où on a enterrer
son cousin l’éthique.
il est mort l’espoir le jour où on a enterrer
son cousin l’éthique.
L’étonnement enveloppe les esprits
Le vertige enflamme les regards
et les coeurs battent la chamade
une côte de colère un pied de marche
et une grande nuit de brouillard
il fait nuit le jour et il fait jour la nuit.
La mort dans l’âme
l’agonisant gémi.
Celui qui cri à mort oublie
que son tour est au tournant.
les temps sont durs
les jours s’affolent
comme la bave des volcans
les nuits boudent dans les ténèbres
qui les conduisent au noir
dans les esprit comme dans les coeurs.
Chaque respiration reflète
le parfum d’hier.
Chaque expiration de l’homme
est un pas qui le rapproche
de sa mort.
Les attentes et les retours
retour du temps qui passe
les attentes dans l’impatience
les lunes vont et les soleils reviennent
les mots fusent et les chagrins pleurent
l’avant hier revient demain
et aujourd’hui redoute les tempêtes
des jours avenirs.
La mort à ses règles .
La mort est sommeil
sans fin.