Les bergers désertent les pâturages
les plaines sont vident
les colonnes de chamelles font place
aux bandes de voleurs aux chars
à la sécheresse la soif la faim
pousse les habitant à l’exile .
Les bergers désertent les pâturages
les plaines sont vident
les colonnes de chamelles font place
aux bandes de voleurs aux chars
à la sécheresse la soif la faim
pousse les habitant à l’exile .
Celui qui sais lire peut voir loin.
Le vrais compagnon de la solitude
c’est le livre.
Ils se replient ils se cachent
Les défenseurs de nos populations
Ils courent comme des brebis
et laissent leurs sabres
la peur grandie et le chaos s’empare des esprits.
Ce qui est écrit sur les dalles reste
et ce qui est écrit sur le sable s’efface.
Les écrits sont la mémoire des peuples.
Les coqs chantent dans les campagnes
mais nous parlons des crêtes de ses montagnes
qui nous font peur un voleur un bandit s’y cache
ses crêtes nous font fuirent vers les plaines
désertique ou l’ombre et l’eau font défaut.
Le lion tient a distance les prédateurs
par son grondement.
Le chacal passe toujours
derrière l’hyène.
La horde à fait fuir
les transhumants de montagne en plaine
de village en ville tous cherchent un lieu de paix
ou un point d’eau la chèvre aussi
qui disait à la chamelle attends moi
moi je veut partir et rester.