De retour au départ
les choses changent
des grands voyages au débarquement
les bagages sont différant
il y a ceux qui attendent et ceux
qui fuit vers l’incertitude.
De retour au départ
les choses changent
des grands voyages au débarquement
les bagages sont différant
il y a ceux qui attendent et ceux
qui fuit vers l’incertitude.
Le faon a l’odeur de sa mère.
Chaque enfant à les plus beaux
yeux devant sa mère.
Ils bâtis le pavé
la route qui mène au palais
ils sont descendus la marche du pouvoir
Le trône casser et l’emblème du pouvoir brûler
des cris des cris des colonnes interrompus
scandent le mot tabou.
Celui qui confie son troupeau
au loup est un mauvais berger.
une bergerie vide
vaut mieux
qu’une bergerie pleine de chacals.
La débandade les hommes courent
le feu s’allume les balles sifflent
des morts des morts
des têtes des tripes des sandales
la trace d’une horreur la peur
s’installe dans les esprits.
Le chacal sait qu’il doit
cacher son terrier.
L’agneau sait que le loup
va le manger.
Sous chaque pierre
une douleur une blessure
sous chaque pierre des pleures
la tête d’un enfant
toute la montagne est devenue
un cimetière a ciel ouvert
la peur toujours au sommet.