Je parle au nom de mes frères
de l’autre côté du voile
Leurs pierres tombales en témoignent
Bien visible dans la plaine
ils trônent comme autrefois leurs
maisons au quartiers des collines à
deux mètres de la mosquée.
Je parle au nom de mes frères
de l’autre côté du voile
Leurs pierres tombales en témoignent
Bien visible dans la plaine
ils trônent comme autrefois leurs
maisons au quartiers des collines à
deux mètres de la mosquée.
A un noyer on ne prose pas
l’eau.
Celui qui à soif ne connaît
que l’eau même si on lui
donne de l’or.
Sur la poitrine de ma cousine
tombait les perles de corail
de l’égypte ancienne que rappel
la palestine malade
en passant par les routes Saharienne
Que chaque grain de poussière
lisse sur nos visages.
Ce que tu ne donne pas de gré
tu le donnera de force.
Se contenter de ce que l’on a
est un bien infini.
Mes souvenirs se préparent à faire la fête
Comme dans le temps
Entendre avec plus d’oreilles ils secouent leurs bras
Et jouent de la flûte des vents
Bonne chance à vos os
et à vos souvenirs.
Celui qui reçoit est celui
qui apprécie.
Le meilleur des biens est celui
Que l’on fait sans attendre
le retour.
Les pluies salvatrices nourrissaient
les marigots on voyait les berges humides
A travers le mur de végétation
un grand soulagement pour les bergers
Qui attendaient.