A trop prêter l’oreille
Aux cris des loups on prend peur.
A trop prêter l’oreille
Aux cris des loups on prend peur.
L’ ére de la machine
bientôt les machines parlerons
chacune sa langue
elles sont dociles et plus fortes
que l’homme elles boivent nos mémoires
et mangent nos esprits.
Ceux qui n’ont pas quelque
chose a vendre vendent les langues.
La calomnie est l’arme ultime
de l’impuissant.
Il se lève contre le vent
Et traverse la colère
Comme un torrent
Disparaît derrière sa mémoire
Les yeux et le coeur fermés
Il appelle.
La lueur d’un feu au loin
ne réchauffe pas.
La main qui allume le feu
a plus de chance de le sentie
en premier.
Je touche la lune du regard
Et j’entends les étoiles chantés
Il se lève comme un concert
Aux quatre coin de mon esprit
un vent Torride qui disparaît derrière
les portes de mon coeur.
Chaque objet que tu met
a ton nez a une odeur.
Chaque encens à son parfum.