Celui qui t’aime aime aussi
Ton mouton.
Celui qui t’aime aime aussi
Ton mouton.
Au-delà de l’esprit il y a les étoiles
Il me semble plus exister que la chair de ton regard
Les désirs meurt écrasé
sous le poids des demandes
Entre les roues de la vie aux dents bien tranchante.
L’ignorant se soucie peu
des autres.
Remue le destin
le destin remuera.
En écrivant sur du vent
je n’ai fait qu’augmenter le vide
Et la futilité coule
Et d’autres afflictions comme la misère
et le désespoir
pourquoi seigneur tant de souffrance.
L’épis du mil ne peut
donner que les graines qu’il porte.
La cruche ne verse
que ce qu’elle contient.
Au-delà du rêve
Il me semble plus exister un chaos
L’esprit virevolte l’espoir se meurt
Entre les roues de la vie
Le verbe à la cantine et les plaisirs courent la rue.
La volonté de vivre l’emporte
toujours.
Le meilleur de tes actes est celui
pour lequel tu n’a pas de regret.