O maître dites-moi une parole de paix
Pas de magis ni des cris de joie
Pas de gloire ni de clan
Mais le fleuve même du bonheur
Et vol mon petit papillon par toutes les fleurs.
O maître dites-moi une parole de paix
Pas de magis ni des cris de joie
Pas de gloire ni de clan
Mais le fleuve même du bonheur
Et vol mon petit papillon par toutes les fleurs.
Ce qu’on peut dire gentiment
Pourquoi crie pour le dire.
Ce qu’on avoir
pourquoi employer la force
pour l’avoir.
Les chèches de midi proclamaient
la dignité la beauté volée au tournant
ils forçaient le respect de chaque sommeil
Et donnaient à chaque heure son compte de patience
Chaque matin un témoin
Chaque saison une main tendue.
Il n’y a qu’un soleil pour la vie.
Plus insignifiant que la trace
d’une sourit dans le sable.
L’homme cherchait ses racines
Là où la terre pleurait ses enfants
Là où le ciel pleuvait ses déboires
Chaque vent une épée
Chaque soif une mort
L’homme redoutait de rouiller
Et son voyage se ferait dans la douleur.