L’homme suit ses désires et son
instinct primaire.
L’homme suit ses désires et son
instinct primaire.
L’homme de raison
sait choisir ses compagnons.
La sève de la terre est vide
Même la création reste sur la montagne
La politique anxieuse de l’orgueil
Une route vertigineuse s’ouvre devant le sommeil
Adieu les repos adieu les jardins.
On reconnait l’homme
vertueux parmi mille.
Puisque que l’homme
est fait de terre
Toute la terre est sa patrie.
Que la victoire des mots assiste
Ma parole et mon sommeil
Que ma parole réfute l’allégeance au complot
Ma demande est licite
Le son du verbe vibre dans les soleils
le désir rejoint ma voix.
il n’est homme que quand
il pense aux autres.
Le pire des hommes est celui
Qui croit être indispensable.
Les sillons désespéraient
des routes transversales
Dévêtues par la foire
des arbres sans racines qui boudaient
Mais l’homme tel une tisseuse
Cherchait une image autre que la désolation.
L’homme de bien est celui
qui pense aux autres.