La mélancolie enchaîne ma marche
L’impatience prolonge mes nuit
Et les vapeur de mon esprit rouillé
Transporte mes désirs
La trame du mouvement et le silence
Tissent chaque gloire à la pointe de la dune.
La mélancolie enchaîne ma marche
L’impatience prolonge mes nuit
Et les vapeur de mon esprit rouillé
Transporte mes désirs
La trame du mouvement et le silence
Tissent chaque gloire à la pointe de la dune.
Tant de désirs pour transformer le monde
mais pas de grand esprit pour le faire.
hyène dit je me reposerai quand les étoiles
se couche.
Les forfaits sont tous signés
Toutes coulé de lave s’adoucit
Des diseurs d’aventures chantent la venue
Ainsi s’écrivent toutes les légendes.
De l’homme on attend toujours mieux.
Le fleuve est long mais à toujours besoins de
ses rives.
J’ai enfermé l’errance dans la gourde son gouffre
bleu
J’ai paralysé la tristesse et la faiblesse dans sa houle
Dans la tempête des colères une solitude
mes sens
Des torches s’allument sur les cendres de mes larmes
c’est le temps du décompte .
La souffrance ne change pas ton état
social.
La fortune donne des ailes .
Dans le temps le voyageur prenait le temps
De lire la trace du vent
Sur la dune et à la pointe des épines
Dans l’épaisseur de l’horizon
Le nuage et la pluie ravivaient son désir de la beauté.