Seul celui qui souffre
peut décrire la douleur.
Seul celui qui souffre
peut décrire la douleur.
Au plus proche du printemps
Apprécions les senteurs de parfums
Vers l’ivresse les herbes folles
Courons tous les sentiers fleuris
Puisqu’à chaque détour une merveille
L’or du soleil fait miroité les regards
Et les plaines le lui rendent.
On ne peut apprécier
que ce qu’on gouter.
On ne peut contenir le taurillon
Que dans son troupeau.
Ce chemin d’un an
Nous avons parcouru
Il se prolongeras
Fils de mon regard
Par-delà l’horizon
Dort peut-être un espoir
Ou un repos
Au grés des étoiles.
La vengeance reste la part
des faibles.
La souris se venge en éparpillant
les herbes .
Et puis aux cris de la foule
se mêle l’écho de pas
Des rires des chants
monte de la vallée la senteur
du parfum de la joie
ou des oliviers en fleurs
Une averse attendue comme par
miracle trouble la fête.
toutes les guerres amènent la désolation
aucune des guerres n’est juste.
si tu veux qu’un homme se souvienne de toi
blesse le au visage a chaque fois qu’il se regarde
dans le miroir il se souviendra.