Et l’homme grandi dans le vent
l’obscurité du premier jour s’efface
Rouillé par les intempéries
de la veille Les sirènes de son esprit
s’éveille et les mots fusent
comme des tempêtes.
Et l’homme grandi dans le vent
l’obscurité du premier jour s’efface
Rouillé par les intempéries
de la veille Les sirènes de son esprit
s’éveille et les mots fusent
comme des tempêtes.