Vers toi va l’ombre du rocher
De toi vient le temps de jadis
Le souvenir des tempêtes
Tu te donnes à la grâce et au silence
De trois ou mille pleines lunes.
Vers toi va l’ombre du rocher
De toi vient le temps de jadis
Le souvenir des tempêtes
Tu te donnes à la grâce et au silence
De trois ou mille pleines lunes.