O terre de feu
Le marchand de la mort fait le tour
des campements le sang coule
O la vie triste des affamés
La tante ne connait plus son nom
O pays où le matin se couche
comme a minuit surpris par propre
fureur.
O terre de feu
Le marchand de la mort fait le tour
des campements le sang coule
O la vie triste des affamés
La tante ne connait plus son nom
O pays où le matin se couche
comme a minuit surpris par propre
fureur.