Soif et faim au désert sont emprunts
Sur le seuil du Ténéré nous courons
Rien sinon la nostalgie mêlée au vent
Des cailloux aux ergs courbés en plaine
Sans la brise de l’harmattan le chameau en embuscade
Seul le mimosa signe l’autre rive.
Soif et faim au désert sont emprunts
Sur le seuil du Ténéré nous courons
Rien sinon la nostalgie mêlée au vent
Des cailloux aux ergs courbés en plaine
Sans la brise de l’harmattan le chameau en embuscade
Seul le mimosa signe l’autre rive.