De la grotte à la cité il n’y a qu’un pas
Mais combien d’abîmes et de gâchis à franchir
Nous sommes soumis aux saisons
Elle à la patience du temps où nous sommes observateurs et acteurs
Au coeur du récit elle a protégé préservé une trace capitale
de toutes les patiences porteuses de douleurs de pleurs
Brassant la poussière et les chants des cigales des nuits
Blanches et des lunes pleines.