O amis je vous conte l’histoire de ma maison
cathédrale de mon esprit
Par la dune forme parfaite le long ruban des plaines
ont aplati
O oueds que le vent balaye sans interruption
La soif m’a appelé la faim m’a reveillé
Je suis harassé agacé par ce perpétuel laminage des faits quotidiens
La peur l’oubli le doute toujours dans mon sac à penser
Un puits tari une chamelle qui pleure un enfant souffrant
Je suis fatigué et j’ai honte de ne rien savoir faire.