Moi tant que j’ai vent qui caresse
mes joues sous l’ombre d’un acacia
auprès d’une mare avec la plaine qui
s’étant au loin avec comme décor les chamelles
et les cabris je suis heureux je ne demande pas
beaucoup au monde.
Moi tant que j’ai vent qui caresse
mes joues sous l’ombre d’un acacia
auprès d’une mare avec la plaine qui
s’étant au loin avec comme décor les chamelles
et les cabris je suis heureux je ne demande pas
beaucoup au monde.