La beauté est un sourire
Mais nous buvons le sable
Sur les genoux de la colline
Le couchant à peine
sans jamais le trouver
La plaine plus loin
Pendant le levant rougeoie
Effleurant nos consciences le mont de nos soucis
Puis le néant qui happe les esprits comme
un trou noir dans le coeur.