Une ombre tire l’horizon
dans une cuvette
Et l’ivresse de toutes les nuits
La solitude perce le tympan
Le coeur marche en reculons
Comme la marche du siècle dernier.
Une ombre tire l’horizon
dans une cuvette
Et l’ivresse de toutes les nuits
La solitude perce le tympan
Le coeur marche en reculons
Comme la marche du siècle dernier.