Les oiseaux se cachent pour mourir
Ils ont honte de courir de mourir
Les hommes qui bataillent pour un idéale qui ne fait
Qu’attiser leur vorace désir d’imposé la honte
La désolation déborde des terrasses des maisons
Des familles jusque là heureuse compte les déboires
Les dignes se taisent les bons crient au désastre
Abominable évolution de ce qui à fait de l’humain
Un grand coeur de l’amour pur.