A deux à trois
Mourrons-nous à l’entré de la peur
La nuit obscure
Ou une abeille ne sais plus piquer
Au jour renaîtrons-nous papillons
Où une vie nous attends.
A deux à trois
Mourrons-nous à l’entré de la peur
La nuit obscure
Ou une abeille ne sais plus piquer
Au jour renaîtrons-nous papillons
Où une vie nous attends.