Oued par oued nous égrenons
nos douleurs chaque montagne
le disait la misère de nos campements
Qui ont soif et peur et même les acacias
tremblent à la vue de la nuit qui approche
nous sommes seul face à la colère
de mangeurs de nos coeurs.
Oued par oued nous égrenons
nos douleurs chaque montagne
le disait la misère de nos campements
Qui ont soif et peur et même les acacias
tremblent à la vue de la nuit qui approche
nous sommes seul face à la colère
de mangeurs de nos coeurs.