A toutes les maisons de la lune
Aux ergs encore vierges
Aux nuages rares
pour des hommes jamais éblouis
Qui n’ont que leurs yeux pour pleurer.
A toutes les maisons de la lune
Aux ergs encore vierges
Aux nuages rares
pour des hommes jamais éblouis
Qui n’ont que leurs yeux pour pleurer.