Les rides s’inquiétaient sur les dunes
Dévêtues par le vent
Des arbres inexistants s’ouvraient au regard
mais l’esprit cherchait la verdoyante allée
Tissait les nuits la délicate envie
d’une rosée fraîche.
Les rides s’inquiétaient sur les dunes
Dévêtues par le vent
Des arbres inexistants s’ouvraient au regard
mais l’esprit cherchait la verdoyante allée
Tissait les nuits la délicate envie
d’une rosée fraîche.