A la lassitude s’ajoute le rythme
Des douleurs d’une époque sombre
La paix prend congé des grands esprits
Car les conseillers sont essoufflés
Sur les tombes de nos morts
Les larmes inondent la misère.
A la lassitude s’ajoute le rythme
Des douleurs d’une époque sombre
La paix prend congé des grands esprits
Car les conseillers sont essoufflés
Sur les tombes de nos morts
Les larmes inondent la misère.