A l’ombre du soleil
Que déchire fracas l’ail de la cigale
Le vieux tronc adossé à la roche renonce à la jeunesse
Par son corps tout tortueux ce moque du temps
Et des heures du concert de la cigale
et se dit je suis je suis l’attente.
A l’ombre du soleil
Que déchire fracas l’ail de la cigale
Le vieux tronc adossé à la roche renonce à la jeunesse
Par son corps tout tortueux ce moque du temps
Et des heures du concert de la cigale
et se dit je suis je suis l’attente.