Je m’étonne qu’il existe des rêves des reflets dans l’eau
Et que l’illusion peut porter sans ailes loin dans les cieux
De chaque jour né un autre jour l’univers entier
L’idée m’est venue que dieu est grand comme l’horizon devant la lune
Pour cette insaisissable construction qu’égraine la lumière avec délicatesse
Que dieu créa les profondeurs matrices qui engendrent les êtres
Les rêves les montagnes et les grands fleuves les veines de la terres.