Au passage des tempêtes
Nous nous abritons sous les palmiers
L’esprit du vent à vécu
Nul arche ne nous protège
Nous connaissons la juste mesure
Nous connaissons le pas sans prévoir le déferlement du vent
Nos montagnes nous font un abri dérisoire au passage de l’harmattan
Prend éwélen pas une seule brindille n’est épargnée
Ou les fumées rejoignent les horizons s’envolent les perdrix.